fertilité féminine

La préservation de la fertilité féminine et l’assistance médicale à la procréation (PMA) sont devenues des méthodes de plus en plus utilisées dans notre société. Face à l’évolution des modes de vie et des parcours personnels, elles offrent de nouvelles perspectives pour agrandir sa famille et pour optimiser la santé reproductive des femmes et des couples tout en respectant le cadre imposé par la loi.

Quelles sont les principales techniques de préservation de la fertilité ?

Il y a la vitrification ovocytaire qui consiste à stimuler les ovaires avec une ponction des ovocytes matures. Ces derniers sont congelés. La conservation du tissu ovarien permet de prélever et de congeler celui qui contient les follicules chez les jeunes filles pré-pubères ou celles victimes de cancer. Le principal avantage réside dans l’absence de stimulation, mais c’est un procédé chirurgical.

La vitrification ovocytaire est suggérée aux femmes en âge de procréer et il n’est pas nécessaire d’avoir un conjoint avec soi. Généralement, il est judicieux d’être accompagné au cours de ces étapes notamment par BeMum. Vous profitez d’un régime de profertilité, de compléments alimentaires et d’un suivi personnalisé pour tomber aisément enceinte. Ce professionnel vous permet même d’effectuer un test de fertilité. À la suite de celui-ci, vous aurez un dispositif.

  • Le rééquilibrage alimentaire est proposé avec une application mobile. Vous obtenez des menus personnalisés pour booster votre fertilité.
  • Des compléments alimentaires essentiels et additionnels sont à prendre en fonction de votre profil.
  • Un accompagnement sur mesure est aussi disponible avec un coach en fertilité.

Avec un tel programme, vous mettez toutes les chances de votre côté pour tomber enceinte et il est compatible à certaines interventions médicales.

innovations médicales

Qu’est-ce que la procréation médicalement assistée ?

La PMA (ou AMP) regroupe plusieurs méthodes qui favorisent une grossesse en dehors du processus naturel. Pour la fécondation in vitro (FIV), les ovocytes sont fécondés par les spermatozoïdes en laboratoire, puis l’embryon obtenu est transféré dans l’utérus. Il faut prévoir une stimulation ovarienne, une ponction ovocytaire et un transfert de plusieurs embryons éventuellement.

En ce qui concerne l’insémination artificielle, les spermatozoïdes sont déposés directement dans l’utérus lors de l’ovulation. Les chances de tomber enceinte sont identiques à celles connues pour une femme qui opte pour un procédé naturel. Toutefois, les professionnels choisissent la période la plus propice grâce à un suivi précis.

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Ces techniques permettent de pallier diverses causes d’infertilité et d’aider les couples à concrétiser leur désir d’avoir un enfant.

Quel est le rôle des institutions ?

En France, l’accès à la PMA est encadré par la loi de bioéthique. Les centres qu’ils soient privés ou publics disposent d’une autorisation délivrée par l’Agence de la Biomédecine. Elle est chargée de contrôler et d’évaluer les activités par ces professionnels. Aujourd’hui, les couples victimes d’infertilité ne sont plus les seuls à profiter de ces techniques.

Depuis quelques années, les femmes célibataires ou les couples homosexuels ont recours à ces procédés pour avoir un enfant avec ou sans donneur.

La préservation de la fertilité et la PMA constituent des avancées majeures pour la santé reproductive. Grâce aux progrès comme la vitrification ovocytaire, de plus en plus de personnes peuvent bénéficier de ces solutions.