Plébiscitée en 2009, puis instaurée par la loi Hôpital, Patients, Santé et Territoires, plus spécifiquement en son article 59, le Développement Professionnel Continu en abrégé DPC constitue un engagement formel pour les professionnels de santé. Voici résumé en quelques lignes, ce qu’il faut retenir sur le DPC.
Un outil fondamental pour l’optimisation des soins
La loi HPST indique que le DPC a pour but d’examiner les compétences et les aptitudes professionnelles des personnes exerçant dans des centres hospitaliers. C’est aussi un moyen à travers lequel l’optimisation des soins est envisagée, afin de mieux assurer les exigences liées à la prise en charge médicale. En outre, cette loi régit les conditions d’habilitation pour des opérations de subventions et pour des structures souhaitant bénéficier d’un numéro exclusif. Le programme du DPC est profitable à tous ceux qui exercent de façon directe ou libérale la profession dans une structure sanitaire. Le cas des professionnels appartenant au mode libéral est particulier, car ils obtiennent une indemnité. En effet, lorsqu’ils sont en formation, la clinique reste fermée et par conséquent aucune entrée d’argent n’est possible. Cette subvention leur permet ainsi d’amortir les coûts des charges fixes. Suivez ce lien pour en savoir plus.
Des formations évolutives pour la santé de tous
A travers le DPC, les spécialistes de la santé ont l’opportunité de profiter des séances d’apprentissage homologuées par des institutions professionnelles et publiques. En effet, il s’agit des formations examinées avec minutie par l’Agence nationale du DPC et les Conseils Nationaux Professionnels, afin d’optimiser au mieux les compétences des professionnels de santé, les soins du corps et la prise en charge sanitaire des malades. Par ailleurs, la formation requiert le respect d’un certain nombre de modalités fixées par l’Agence nationale du DPC : La création d’un compte si vous n’en avez pas est obligatoire et nécessite votre numéro RPPS ainsi qu’un RIB.