L’histoire de la science est une longue suite de débats houleux, de découvertes fondatrices et de retours à l’obscurantisme. À chaque époque, des pionniers proposent des alternatives d’abord considérées comme complètement folles ou hérétiques avant d’être acceptées universellement. Aujourd’hui, certaines questions restent en suspens, notamment en ce qui concerne la Mémoire de l’eau, une hypothèse proposée en 1988 par le médecin chercheur Jacques Benveniste.
Qui est le médecin chercheur Jacques Benveniste ?
Contrairement à ce qu’affirment ses détracteurs, le médecin chercheur Jacques Benveniste ne fut pas un simple acteur du monde médical comme il en existe des milliers. En témoigne la précision et la complétude de ces études qui en 1988 bouleversent la communauté scientifique et engendre un débat violent. Les conclusions de ces études affirment que l’information biologique pourrait être conservée dans l’eau alors même que les traces de cette information, sous forme de protéines par exemple, seraient totalement éliminées.
Ces conclusions audacieuses ne sont pas le résultat d’une étude isolée, mais bien d’un travail que Jacques Benveniste a commencé dès 1984, en travaillant notamment sur la haute dilution. Pourtant, les réactions de ses confrères sont extrêmement violentes et la majorité d’entre eux rejette ses conclusions. La mémoire de l eau est conspuée, moquée et marginalisée, mais l’histoire ne s’arrête pas là.
La Mémoire de l’eau et ses figures scientifiques
Si le médecin chercheur Jacques Benveniste fait figure de pionnier dans le domaine de la Mémoire de l’eau, il ne fut pas le seul à s’y intéresser. En Russie, un autre chercheur du nom de Stanislas Zénine a lancé ses propres études sur la question. Ces protocoles pointus et techniques aboutissent à la naissance des concepts de mémoire primaire et de « long terme » notamment.
Au Japon, c’est Masaru Emoto, un autre chercheur qui a lui travaillé sur la photographie de cristaux gelés. Selon lui, l’origine de l’eau influerait sur la formation des cristaux. Si les eaux utilisées proviennent de zones pures et vives, les structures formées sont belles et harmonieuses, tandis que les eaux stagnantes présenteraient des cristaux très incomplets. Ce ne sont là que deux exemples parmi les plus connus, mais bien d’autres scientifiques ont évoqué positivement la Mémoire de l’eau et ses possibilités.
Quelles perspectives pour la Mémoire de l’eau ?
On pourrait ainsi parler des travaux de Jerry Pollack sur le quatrième état de l’eau, ceux de feu Luc Montagnier, codécouvreur du VIH, prix Nobel de Médecine et très intéressé par la question de la Mémoire de l’eau. Il a notamment déclaré que les travaux du médecin chercheur Jacques Benveniste seraient utiles pour aborder l’étude de l’ADN sous un nouvel angle. L’eau kangen serait aussi une déclinaison de ce savoir.
Enfin, on pourrait aussi parler de Serguei Kolstov, certainement le plus intéressant de tous aujourd’hui, car il s’est attaché à créer un système technique performant, permettant de transmettre à l’eau des informations positives et régénérantes. Ainsi, le Correcteur d’État Fonctionnel permettrait à chacun de créer de l’eau structurée facilement et donc de profiter d’un maximum de ses supposés bienfaits.